Le savon d’Alep

Savon dans son habitat naturelCela fait bien longtemps que je n’ai rien écrit au sujet de mes test bio et autres découvertes naturelles. Pourtant, je me rends compte que le bio prend de plus en plus de place dans notre vie, que ce soit pour la lessive, l’alimentation ou l’hygiène. A ce propos, j’aimerais bien me pencher sur l’habillement « bio » une fois. Bref, aujourd’hui, c’est bio test spécial savon d’Alep.

Tout d’abord, qu’est-ce que c’est? Wikipedia, comme d’habitude, vous donne toutes les infos utiles. De mon côté, je me contenterai de dire qu’il s’agit d’un savon naturel à base d’huile d’olive et d’huile de baies de laurier.

A cause de vilains parabens, nous étions passés au gel douche bio. Arrivés au bout du flacon, nous avons décidé de tester autre chose, histoire de ne pas mourir idiots. Dans le savon d’Alep, évidemment, pas de parabens, ni de dérivés du pétrole, ni quoi que ce soit de ce genre. Nous en avons acheté un pain de 200g pour CHF 10.00 (ou environ 6 euros). Sur la photo ci-dessus vous pouvez admirer le savon en question dans son habitat naturel. J’ajouterais encore que le savon d’Alep est aussi disponible en liquide.

Passons au test en lui-même. L’odeur est plutôt « surprenante » – il faut dire que nous sommes habitués aux parfums artificiels assez forts des gels douche classiques – l’odeur est donc discrète et naturelle, pas spécialement agréable ni désagréable. Je vous rassure tout de suite, on ne sent pas la vinaigrette hein! L’odeur est même plus légère que celle d’un savon entièrement à l’huile d’olive que j’avais ramené d’un voyage à Athènes.

A l’utilisation, c’est un peu moins pratique qu’un liquide mais en même temps je pense que ça évite d’en utiliser trop, oui parce que la moitié du flacon de gel par douche, c’est trop!! (juste pour dire). La sensation sur la peau est celle d’un savon, agréable à l’application, un peu moins au rinçage. Par contre, cette sensation de sécheresse n’est que temporaire, après plusieurs d’utilisation, je trouve ma peau bien douce. Super donc. Ravie je suis. J’attends encore les commentaires de P’tit Mari. J’oubliais presque de dire que, oui, le savon remplit bien son but de « lavage ».

Finalement, je souligne aussi que cette affaire m’a l’air bien économique… Je surveillera la fonte des glaces, euh, du savon.

Résumé du Charlotte test:

Les + :

  • le côté naturel (odeur et composition)
  • l’économie de produit (la nature vous dit merci!)
  • la douceur de la peau

Les – :

  • moins pratique que du liquide
  • impression de sécheresse au moment du rinçage
  • le savon, c’est bien connu, ça tombe toujours au fond de la baignoire/ du bac de douche…
Publié dans Bio powa Tagués avec :
7 commentaires sur “Le savon d’Alep
  1. gazelle dit :

    Ah l’odeur je n’arrive pas à m’y faire!! c’est très poivré!

    Puis faut faire attention à la composition aussi, dans certains savons, ils mettent du souffre 😕

  2. fofita dit :

    Ah oui, le savon il a un don pour tomber au fond de la baignoire… Et là pour le coup la « fonte des glaces » va être bien accelérée!

  3. P'tit mari dit :

    Bon, alors commentaires de P’tit mari qui a testé aussi le savon…
    Effectivement, l’odeur est surprenante, mais elle est plus agréable que le savon 100% olives. Par contre, je trouve cette odeur agréable (même si elle est surprenante au premier coup): c’est simple et léger.
    Côté utilisation, il me semble que le savon tient bien en main (il faut dire qu’il est assez gros et que j’ai de grandes mains) et il mousse bien, ce qui est agréable (et mieux qu’avec l’autre gel douche bio que nous avons testé). Au rinçage, c’est vrai que l’impression de sécheresse de la peau se fait sentir, mais je m’y attendais étant donné que je me suis rasé quelques temps avec le savon à l’huile d’olives: la sensation est la même et la peau (on s’en rend compte surtout après plusieurs utilisations) a tendance à être plus douce une fois sèche.
    Voilà. Conclusion: j’aime bien!

  4. Charlotte dit :

    Gazelle:Poivrée?? J’ai rien remarqué moi… 😕 Et du souffre?? Beurk. 😯

    Fofita:Perfide savon! :mrgreen:

    P’tit Mari:Merci pour cet avis éclairé. <3

  5. shalima dit :

    Oui, et quand ça tombe au fond de la baignoire, en général, c’est sur les pieds !!! :mrgreen: Moi je le coupe en plusieurs morceaux pour que ça tienne bien dans la main (et que ça fasse moins mal si jamais il m’échappe !)
    Perso, l’odeur du savon d’alep ne me gêne pas, mais je ne supporte plus les parfums artificiels des gels douche, je ne suis donc pas une référence.
    Seul bémol, j’utilise bcp plus d’eau pour me laver, comme ça mousse moins. Mais comme ça se rince + vite, on va dire que ça compense ? 😆

  6. Charlotte dit :

    Shalima: Ah tiens, j’aime bien ton idée de le couper en plusieurs morceaux, ce serait effectivement plus pratique pour mes petites mains… Par contre, je n’ai pas remarqué de problème de « mousse » (peut-être parce que le gel douche bio ne mousse pas bcp non plus). Je suis comme toi pour les parfums artificiels: je supporte plus! Déo, gel douche, shampooing, tout me dégoûte.

  7. Jaewook dit :

    Vous me posez une question dilifcife via ce me9dia of9 il n’est pas question pour moi de s’e9pancher en 140 signes, mais pas ade9quate non plus pour une conversation. Kichijoji est le nom d’une station de me9tro/train dans la partie ouest de Tokyo, et aussi le nom du quartier alentour. Ce n’est pas une ville, mais la configuration de ce quartier avec des frontie8res palpables et une harmonie parfaite entre le nord commere7ant et le sud avec son parc en fait un quartier urbain (presque) ide9al. Sinon oui, le factice qui est e0 mon sens d’autant plus visible que le formalisme du quotidien perd de son sens de8s lors qu’il est devenue une pratique machinale et mime9tique, ne montre en conse9quence que ce qui lui reste, sa face me9canique pre9visible. Les personnes e2ge9es qui maeetrisent encore le sens de ce ballet courtois sont souvent d’une autre trempe.a0 Ce ballet froid, souvent, est une caracte9ristique essentielle des inte9ractions, e0 Tokyo en tout cas. Quand e0 l’immobilisme, si on juge e0 l’e9volution du mate9riel, on pourrait croire que tout change e0 la vitesse grand V, mais ce n’est qu’une apparence. On peut changer de rame de me9tro tous les 15 ans et rester profonde9ment conservateur, mais le bain me9diatique noie ici comme ailleurs le pouvoir de penser par soi-meame, meame un peu. Bien sfbr, c’est ma vision personnelle des choses. Il y a d’autres visions, la plupart pue9riles ou calcule9es, pas assez ou pas du tout conscientes que comme ici meame, elles ne sont qu’une projection de soi tout en pre9tendant eatre un portrait du Japon. Sans doute un de9faut ine9vitable, e9tant donne9 le sens unique du dialogue. L’e9tranger blanc parle longtemps et beaucoup ici dans le vide, e0 force de vouloir de9crire et inculquer ses principes qu’il croit maeetriser e0 un public silencieux ou surtout absent.Voile0 un environnement qui se laisse de9crire sans broncher.

2 Pings/Trackback pour "Le savon d’Alep"
  1. […] Une citadine qui parle du savon d’Alep […]

  2. […] Une citadine qui parle du savon d’Alep […]

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*